Pour préparer l’Assemblée paroissiale du 24 janvier 2016, vous êtes invités à participer aux différents groupes de réflexion organisés sur les cinq questions présentées par le Conseil Pastoral lors de la journée de rentrée (les panneaux présents dans chaque église de la paroisse). Mais vous pouvez répondre par groupes paroissiaux (EAR, équipe liturgique …) ou individuellement.
Comment être attentifs aux nombreux jeunes qui se réunissent sur notre paroisse pour les soutenir dans ce qu’ils font et leur permettre, par leur place dans notre communauté, de nous aider à nous renouveler ?
600 jeunes se retrouvent habituellement dans nos locaux paroissiaux ou dans nos espaces de vie ecclésiale. Comment les rejoindre, non pour les « assimiler » ou les faire rentrer dans nos « cases », mais pour être attentifs à ce qu’ils sont/font, pour leur permettre de vivre des choses ensemble et d’entretenir des liens entre eux, pour être à leur service selon ce qui est possible, pour soutenir avec eux leurs jeunes responsables, pour leur permettre de prendre davantage leur place dans notre communauté, pour leur permettre d’aider notre communauté à se renouveler, pour les porter dans notre prière ?
Comment améliorer encore la qualité des relations entre nous dans la paroisse, tout en cultivant le souci d’aller vers ceux que nous ne rejoignons pas ?
Notre paroisse est vivante, beaucoup de groupes la font vivre, beaucoup acceptent des responsabilités d’animation et de service. Comment faire mieux connaître tout ce qui se vit dans notre paroisse, non parce qu’on voudrait « se montrer » ni parce qu’il faudrait faire « du chiffre », mais pour que nous soyons mieux informés, plus appelants, plus performants et missionnaires dans la communication en interne comme en externe ? Comment nous porter mutuellement dans la prière, parce que les missions confiées sont parfois lourdes ? Quels sont nos besoins de formation d’une manière générale ou pour des questions plus spécifiques ? Comment améliorer encore les relations entre les relais et entre les multiples groupes puisque nous sommes une famille ? Quelles sont les « bonnes » pratiques à développer, à encourager ? Comment soigner l’accueil de ceux qui s’approchent ? Quels temps forts ponctuels pourrions-nous vivre (Lourdes, pèlerinages, visitation d’une autre paroisse, …) pour honorer diverses approches de la vie chrétienne ?
Quels enjeux percevons-nous à collaborer davantage avec les trois autres paroisses de Limoges nord ?
Depuis 4 ans, les quatre équipes pastorales des paroisses de Limoges nord ont commencé à travailler ensemble, pour mieux se connaître, se soutenir et mutualiser ce qui peut l’être, tout en gardant leurs identités propres. Comment poursuivre cet effort qui nous aide à préparer l’avenir, non pour uniformiser la pastorale ni parce qu’il n’y a plus de prêtre, mais pour porter ensemble un nouveau souffle missionnaire, pour proposer une pastorale plus réactive, pour rejoindre les jeunes familles, pour garder du dynamisme ? Que faudra-t-il choisir, à quoi faudra-t-il renoncer, comment devrons-nous nous organiser ?
A l’avenir, quels seront nos besoins en bâtiments, en salles et en espaces pour notre paroisse ?
Notre paroisse dispose d’un patrimoine immobilier important et coûteux. De quoi aurons-nous besoin dans les années qui viennent ? Qu’est-ce qui devra évoluer par rapport à ce que nous connaissons actuellement ? Comment rationaliser les besoins, en considérant les coûts d’entretien, les mises aux normes, les charges et les taxes, dans le cadre des nécessités de la mission ? Comment étoffer nos équipes de bénévoles pour l’entretien, le suivi des questions immobilières ?
Comment devrons-nous faire pour qu’un seul prêtre assure toutes les messes du WE sur la paroisse ?
Le nombre de prêtres diminue. Comment devrons-nous faire pour qu’un seul prêtre assure toutes les messes du WE sur la paroisse ?
Cette question en entraîne d’autres : Comment mieux vivre le rassemblement des chrétiens ? et en même temps comment garder le souci de la proximité ? Quelle place pour des liturgies de la Parole ? Quelle entraide concrète pour le covoiturage ?